Nos âmes au diable

De temps en temps, j’aime me mettre sous la dent un bon thriller, un roman qui va m’empêcher d’éteindre la lumière le soir, qui va me tenir en haleine jusqu’à la dernière page.

En commençant « Nos âmes au Diable », j’ai cru que j’allais plonger tête baissée dans un récit palpitant, peuplé de personnages bien trempés avec lesquels j’allais vibrer. Certes, le récit est bien écrit, les actions se succèdent, le rythme est soutenu. Pourtant, au bout de 52 chapitres (sur 122 sans compter l’épilogue), j’ai commencé à m’ennuyer. Je suis allée jusqu’à détester un des personnages principaux au point de vouloir arrêter la lecture du livre ! Finalement, je l’ai lu jusqu’au bout. Mon sentiment n’a pas changé pour autant. Trop est l’ennemi du bien.

Ce roman plait à un grand nombre de lecteurs sur le site Babelio.
À chacun de se faire son opinion. Il faut de tout pour faire un monde. 😉