Dans le murmure des feuilles qui dansent

Sélestat.

Anaëlle est une jeune femme qui n’a pas été épargnée par la vie. En pleine écriture d’un roman, elle décide de prendre contact avec un ancien professeur qu’elle finira par appeler Hervé. Cette correspondance est loin de plaire à tout le monde.

Thomas est menuisier. Il a bon caractère et sait parler aux arbres. Il voue un amour inconditionnel à la nature et surtout à son jeune frère Simon qui compte beaucoup sur lui, depuis sa chambre d’hôpital.

Les chemins d’Anaëlle et Thomas, tous deux fragilisés, vont se croiser. Y a-t-il une chance d’apercevoir le bonheur dans le murmure des feuilles qui dansent?

 

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Dès la sortie du roman en poche, j’avais craqué sur le titre et sur la couverture colorée. C’est pourquoi j’en avais fait cadeau à une amie pour son anniversaire… sans l’avoir lu auparavant. Elle m’a dit l’avoir apprécié et me l’a prêté en retour.

Mon avis est plus mitigé.

Certes les personnages sont attachants, surtout Thomas. J’ai aimé sa fragilité et son bon cœur, son amour inconditionnel pour son frère, pour la nature, la passion qui l’anime…

Certes les dernières pages du roman m’ont touchée. Quelques jours après la lecture, des passages intenses du livre me reviennent en mémoire.

Malgré ces points positifs,  j’ai trouvé le style un peu trop simple; de plus, certains passages m’ont semblé  répétitifs et infertiles. Les lettres m’ont parfois même déplu.  Je me suis ennuyée par moment et j’ai failli arrêter la lecture à plusieurs reprises. Heureusement, je l’ai poursuivie… sans quoi je n’aurais pu apprécier la partie la plus belle du roman : la fin.